Japon,  Programme vacances travail au Japon (ou Working Holiday Visa)

Bénévole en guesthouse à Sapporo

Vous le savez d’ores-et-déjà si vous avez lu l’article précédent (WWOOFing à Monbetsu), nous sommes parties plus tôt que prévu de l’est de l’île le 24 décembre pour rejoindre la capitale de Hokkaido, Sapporo 札幌, afin de travailler en tant que bénévoles dans cette guesthouse.

Devant la gare de Sapporo
Devant la gare de Sapporo

Qu’est-ce qu’une guesthouse ? Apparemment il y aurait une différence dans certains pays avec les auberges de jeunesse mais au Japon c’est exactement la même chose, sauf qu’ils utilisent plutôt le terme de guesthouse plutôt que youth hostel. C’est-à-dire une maison ou un building où se trouvent des dortoirs et parfois des chambres privées avec des espaces communs comme une cuisine, un salon et des douches et parfois un petit-déjeuner inclus pour un coût plutôt raisonnable. Même si je dois admettre qu’au Japon, le coût n’est pas si raisonnable, à tel point qu’il est possible de trouver des hôtels moins chers. Mais pour beaucoup de voyageurs (ce n’est pas que pour les jeunes !), c’est aussi l’occasion de rencontrer d’autres baroudeurs et de profiter d’un personnel plus amical (normalement…), présent et prêt à donner des conseils sur les alentours. Il faut aussi savoir qu’il n’existe pas des auberges seulement dans les grandes villes, on peut parfois en trouver aussi dans les montagnes par exemple !  

Naturellement, ces deux expériences (WWOOFing et guesthouse) sont totalement différentes; disons simplement que cette dernière pouvait difficilement être pire que la précédente, même si elles ne sont pas comparables puisque, j’insiste, ces deux modes de vie n’ont rien à voir. Mais si je devais résumer notre expérience en quelques mots, ce serait ceux-ci : neige, nourriture, neige et rencontre.  

Je vous l’accorde, la neige c’est vraiment sublime. Vivre un hiver glacial et rude était notre choix, car c’était le cliché que nous avions de Hokkaido. Encore une fois, nous avons eu ce que nous voulions. Même si les locaux nous disent qu’il y a moins de neige cette année par rapport aux précédentes, c’est déjà assez conséquent pour nous ! Je crois qu’en janvier il neigeait même un jour sur trois.

Mais ai-je mentionné dans l’article précédent que le froid n’était pas si insupportable ? Oubliez-ça tout de suite. Haha. Même si certains vous diront qu’il ne fait pas très froid, comme certains Australiens ou Néo-Zélandais qui sortaient avec un simple manteau fin…

Le manque de soleil (il fait presque nuit noire à 17h), autant de neige et un vent aussi glacial deviennent vite un handicap puisque même sortir demande beaucoup de préparation. Et les sorties elles-mêmes sont limitées car pour faire un raccourci : qu’est-ce qui ressemble plus à un parc enneigé qu’un autre parc enneigé ?

Dans le parc de Maruyama... Ou celui de Nakajima ? Je ne sais plus ! (En vérité, c'est dans le parc de Nakajima)
Dans le parc de Maruyama… Ou celui de Nakajima ? Je ne sais plus ! (En vérité, c’est dans le parc de Nakajima)
Ils sont toujours là, peu importe où vous vous trouvez.
Ils sont toujours là, peu importe où vous vous trouvez.

Ayant envie de retrouver un peu de coquetterie après être revenues du WWOOFing, j’ai décidé de ne porter que mes Dr. Martens adorées. Sauf que ce ne sont pas les chaussures les plus adaptées pour marcher sur la neige, surtout quand la semelle est usée ! Ce qui fait que littéralement tous les jours pendant au moins 2 semaines, je suis tombée. J’ai appris à adopter la démarche des habitants de Sapporo, démarche qui s’apparente à celle des pingouins : poser les pieds en entier plutôt que dérouler habituellement le pied. J’ai maintenant le plaisir de pouvoir dire que je ne suis plus tombée depuis bien longtemps.

Après je dois avouer qu’ils ont eu l’ingéniosité d’avoir créé une ville souterraine, une véritable seconde ville, ce qui fait que l’on peut toujours sortir même en plein -13°c. Et donc éviter de tomber… Hé hé hé.

Mais avant d’emprunter les dédales de cette ville-là, j’ai bravé le froid pour explorer la ville extérieure. Je parle à la première personne, car Aurélie n’était jamais avec moi pour ces explorations, car malgré notre seule condition pour venir travailler dans cette guesthouse, nous avons eu très rarement des jours de congé en commun. Parmi les symboles de Sapporo, j’ai visité la Clock Tower, une très grosse horloge en bois. Si je puis me permettre, l’extérieur est beau, mais l’intérieur ne vaut pas vraiment le coup sachant que l’entrée est payante… Surtout si vous ne parlez pas japonais. Il en va de même pour le musée de la bière. Les explications de la visite gratuite sont rarement données en anglais, mais le bâtiment en lui-même est impressionnant. Je n’ai pas fait de tour guidé, donc je ne peux pas dire ce qu’il vaut.

La Clock Tower
La Clock Tower
Le musée de la bière
Le musée de la bière

Mais bon, Sapporo est bien évidemment connue pour sa bière, puisqu’il en existe même une à son nom ! Elle est légion ici, tout le monde la boit. Ce serait un sacrilège de boire une autre bière. Ainsi vous avez le choix entre : la classic Sapporo et la Sapporo. Je n’arrive pas à faire de différence en ce qui me concerne…

Classic Sapporo
Classic Sapporo

Enfin, le dernier symbole que j’ai visité est ce que les citoyens de la ville appellent Akarenga 赤れんが, aka voulant dire rouge, on comprend rapidement pourquoi. Le bâtiment entier est fait de briques rouges. C’est l’ancien bureau du gouvernement de Hokkaido. Son entrée est gratuite donc ça ne coûte rien d’y faire un tour… (il y avait une blague ici, désolée pour ce mauvais jeu de mot).

La plupart des intérêts touristiques de la ville sont accessibles à pied, et le réseau de métro, de tram et de bus est bon dans la ville (contrairement au reste de l’île…).

Toutefois, la visite que je préfère est celle du musée de l’université nationale de Hokkaido. Il est gratuit (j’aime ce mot), complet et vraiment intéressant. En plus il y a des salles interactives, dont une superbe exposition de fossiles de dinosaures ou encore de moulages de maladies du XVIème siècle.

Sapporo donne l’impression d’être sous une forte influence américaine, ne serait-ce que par son architecture. J’ai appris plus tard qu’à la fin du XIXème siècle, le gouvernement de la ville était en étroite collaboration avec le gouvernement américain pour se développer. Tout s’explique ! Hokkaido a une riche culture des Aïnous, le peuple indigène de l’île, mais je crois l’avoir déjà dit, ce sujet est assez sensible donc je ne vais pas m’étendre outre mesure. Donc je vous laisse cliquer sur le mot Aïnous si vous voulez en savoir plus. Le musée de l’université en parlait rapidement, mais pas suffisamment pour comprendre l’histoire de ce peuple. Toutefois, je peux vous dire que l’entité la plus importante chez eux est l’ours, d’où le fait que l’on voit des ours partout à Hokkaido, notamment cette statue en bois d’un ours qui mange un poisson. Leur religion est très intéressante et les Aïnous auraient perdu beaucoup de territoires car selon leur croyance animiste, la Terre n’appartient à personne, de surcroît, à eux non plus. Ainsi ils se laissaient envahir. Bon voilà j’en ai déjà trop dit mais c’était important de l’évoquer. Beaucoup de noms de villes viennent de la langue Aïnou, rien que “Sapporo” veut dire selon wikipédia : “grande rivière coulant à travers la plaine”.

Sculptures en bois Aïnous
Sculptures en bois Aïnous

Ceci dit, Sapporo reste une ville, et je ne vois pas bien ce que l’on peut y faire si on ne veut pas se ruiner. Car même si j’étais logée et nourrie, on peut dire que j’ai vraiment craqué sur tout ce qui est extra en matière de nourriture. Je réalise à nouveau qu’en France nous sommes vraiment accro au sucre. Au Japon il n’y a pas de dessert, sauf qu’Aurélie et moi avons toujours besoin d’une touche sucrée en fin de repas, ce qui fait que tous les jours quasiment, nous dépensons pour nous acheter des glaces ou autres gourmandises inutiles. Et pas seulement sucrées d’ailleurs. Les restaurants de sushi sont réputés à Hokkaido, puisque cette île est connue pour l’excellente qualité de ces produits de la mer.  Un jour, nous attendons deux heures et demie pour pouvoir profiter d’un restaurant de « kaiten-zushi » (les restaurants où les sushi tournent)  qui est soit-disant le meilleur de tout Hokkaido, voire du Japon. Pour être honnête, le goût ne valait pas l’attente, surtout que nous avons mangé dans un bien meilleur restaurant où nous avons « juste » attendu une heure. En ce qui concerne Sapporo, les ramens sont les plats les plus courants, comme le miso ramen ou le curry ramen

Miso ramen
Miso ramen

Notamment des kinotoya comme je les appelle, mais leur vrai nom est “yakitate cheese tart” soit “tarte fromagère cuite”. Une tuerie. Je les adule, à tel point que je me suis inventée une nouvelle règle, celle d’en manger deux à chacun de mes jours de congé. Voire trois… J’ai l’impression de les redécouvrir à chaque fois, c’est formidable. Je les appelle ainsi parce que ces petits trésors sont vendus dans le magasin Kinotoya. Que je suis originale !

Seule, je profite d’un jour de congé pour aller voir la ville de Otaru 小樽, non loin de Sapporo, très réputée à Hokkaido… Si vous désirez y aller, je préfère vous prévenir tout de suite, allez-y le soir. En journée, le canal n’est pas éclairé et il n’y a rien d’extraordinaire, surtout que le canal est vraiment court. Le village qui suit n’est pas trop mal, mais vraiment je pense que de  nuit elle vaut beaucoup plus le détour. Cette ville est très célèbre pour ses verreries, donc les amateurs se plairont là-bas !

Le canal de Otaru
Le canal de Otaru

Mais outre manger et visiter seule, Aurélie et moi travaillons ici en auberge. Ce n’est pas la première fois que nous expérimentons la vie en auberge de jeunesse. Pour mes voyages, je suis souvent restée en auberge, ainsi que pendant notre voyage de cet été, mais nous y sommes toujours restées en tant que clientes. Ainsi, c’est la première fois que nous passons du côté du personnel. C’est comme cela que nous sommes devenues des “helpers”. Ni employée, ni cliente, nous avons un statut un peu bâtard situé au milieu de nulle part.

Nous sommes arrivées à un moment de l’année plutôt mouvementé : la veille de Noël. Noël n’a pas du tout la même signification que chez nous bien sûr. Noël ici est une fête purement commerciale, que les gens passent plutôt en couple. Donc ce soir-là une simple soirée film était organisée dans leur autre auberge. Ainsi, nous pouvons doucement faire connaissance avec toute l’équipe.

Mais surtout, le Nouvel An a réuni beaucoup de voyageurs venant du monde entier. Nombreux sont ceux qui voulaient fêter le Nouvel An à la neige, dont beaucoup d’Australiens (encore eux !) venus faire du snowboard, entre autres, car je le rappelle, ils sont actuellement en été “back home”.

A ce moment, nous rencontrons beaucoup de personnes, dont deux avec qui nous sommes encore en contact (Ali et Jo, si un jour vous lisez ces lignes…en français haha). Pendant une bonne dizaine de jours, l’ambiance est très festive et nous nous amusons vraiment beaucoup. La période qui a suivie nous a montré une autre facette de la vie en guesthouse, beaucoup plus morne. Par la suite donc, nous avons peu de travail (un jour même nous avons eu un seul lit à faire pour trois helpers !) et les quelques voyageurs éparses ne sont pas très exubérants.

Notre meilleure soirée, improvisée qui plus est !
Notre meilleure soirée, improvisée qui plus est !

Fête du Nouvel An
Fête du Nouvel An

Fête avec les employés et autres helpers
Fête avec les employés et autres helpers
Penguin Squad!
Penguin Squad!

Mais le travail en guesthouse n’est pas de rencontrer des gens, évidemment ! Les tâches sont plutôt évidentes : taper les matelas et couettes (bon moyen pour se défouler), passer l’aspirateur dans les “compartiments” des lits, faire les lits et nettoyer les salles de bains/toilettes, les espaces communs… Ensuite nous avons ce que l’on appelle de la maintenance quand il y a peu de travail, comme lustrer le sol à l’aide de serviettes trempées dans du thé noir ou nettoyer les filtres de l’air conditionné. Tous les jours nous commençons à 10h30, et en dehors des périodes affluentes, nous arrivions à finir à 14h30/15h. Mais normalement, l’heure de fin est à 16h. Nous sommes souvent 3 à 4 helpers, avec qui nous sommes plutôt proches, mais plus particulièrement de Yuiko, notre petit dictionnaire japonais sur pattes. Il y aussi le staff dont certains sont plus présents que d’autres, et même si des fois nous avons certaines restrictions un peu étouffantes de certains membres, l’ambiance est plutôt bonne.

Ceci étant dit, la période qui est vraiment la plus chargée est celle du festival de neige, le Yuki Matsuri 雪祭り au mois de février. Chaque jour nous avons un rythme effréné, allant jusqu’à 39 lits à faire. En fait, on nous avait dit que les personnes resteraient pendant tout le festival, mais finalement, chaque jour quasiment tous les clients changent.

En parlant de ce fameux festival d’ailleurs… Beaucoup d’événements se déroulent du 5 au 12 février dans tout Hokkaido, mais le festival le plus connu est celui de Sapporo. Nous nous attendions à quelque chose de grandiose; enfin en vérité je ne sais pas vraiment ce à quoi je m’attendais, mais je crois que tous ceux avec qui nous sommes allées le voir sont d’accord pour dire qu’il n’est pas si génial que ça. Les sculptures sont impressionnantes, notamment le spectacle de la sculpture de Final Fantasy XIV, mais je ne sais pas, il manque quelque chose… En plus, il fait extrêmement froid et le circuit est assez long, si bien qu’à la fin nous ne prenons même plus le temps d’admirer les constructions car nos membres sont congelés et ne pensons qu’à rentrer.

Mais ce quelque chose qui manque, nous le trouvons à Shikotsu-ko 支笏湖. Himu, l’un des employés de notre auberge, nous conduit en voiture à une heure de Sapporo au lac de Shikotsu avec Abby et Mao, les deux autres helpers. L’endroit est plutôt petit, et même si nous ratons le feu d’artifice de peu (nous le voyons de la voiture), tout est magnifique. Les lumières sont parfaitement accordées aux différentes formations de neige. De plus, nous prenons une sublime photo en pose de ninja, que tout le monde a adorée ! Il faut dire que ça change de l’habituel signe de la victoire. Pour parfaitement clore ce festival, je goûte à des cheese potato mochi, des galettes de riz gluant mélangé à de la pomme de terre et du fromage fondant…Un régal !

Nin-nin pose !
Nin-nin pose !

Pour continuer dans les bonnes surprises, Keisuke, un autre membre du staff, nous emmène à Suzuran pour aller voir la cascade gelée de Ashiribetsu アシリベツの滝. Absolument incroyable ! Surtout que nous sommes seuls devant cette merveille de la nature. Keisuke a alors sorti son réchaud et nous profitons alors d’un bon genmaicha (le thé vert au riz grillé) chaud tout en nous concentrant sur la nature; que ça fait du bien !
Peu après des journalistes sont arrivés, et c’est ainsi que le soir-même nous sommes publiées dans un journal japonais… Encore une fois (je pense que tout le monde a oublié mais cet été à Shikoku déjà nous sommes apparues dans un journal) ! Quelles stars.

Ensuite, il nous emmène voir un immense Bouddha vraiment impressionnant, situé à côté de statues Moiwa et des statues de cerfs et biches… Et je pense que le créateur de ces dernières n’a pas pensé à son oeuvre quand il y aurait de la neige…

Un endroit aussi beaucoup moins connu, mais qui n’en est pas moins charmant, est le Fushimi Inari de Sapporo. Il ne faut surtout pas s’attendre à celui de Kyoto, mais l’endroit est beau, surtout pour le contraste du rouge avec la neige blanche.

Mais j’ai gardé les deux meilleures visites pour la fin, celles qui nous mettent en émoi.

Avec Yuiko et Aurélie, nous nous échappons le temps d’une journée à Noboribetsu (登別) ! Nous commençons par prendre un bus depuis Sapporo. Le bus étant très cher, nous décidons de tendre le pouce pour aller jusqu’à notre destination initiale : ”la vallée de l’enfer”, Jigokudani (地獄谷). Autant le stop en été, c’était à la limite de l’insupportable, mais alors en hiver c’est tout bonnement proche de l’impossible, surtout quand une tempête de neige entre en scène ! Ceci étant dit, quelqu’un nous a pris plutôt rapidement. Une Mongole accompagnée d’enfants nous a emmenées directement sur le parking, qu’elle a même payé pour nous déposer. Cet endroit est absolument incroyable : les couleurs sont impressionnantes, les paysages grandioses et la fumée qui s’échappe de la terre rend le tableau encore plus splendide. Nous avons fait une sorte de randonnée mais beaucoup de chemins étaient bloqués à cause de la tempête de neige, donc nous ne pouvions pas vraiment en profiter. Mais les paysages enneigés nous faisaient oublier nos vêtements complètement trempés. Cet endroit est aussi connu pour les onsen… Hé hé hé ! C’est vraiment le meilleur moyen pour se réchauffer; enfin le onsen est la meilleure réponse à toutes les situations.

Notre nouvelle famille Mongole
Notre nouvelle famille Mongole
Yuiko, Aurélie et moi à Noboribetsu
Yuiko, Aurélie et moi à Noboribetsu

Et en parlant de onsen, j’ai gardé le meilleur pour la fin : Hoheikyo 豊平峡温泉. Ce sont des bains extérieurs avec vue sur les montagnes à environ une heure de Sapporo. Nous y sommes allées deux fois et les deux fois nous avons eu des bains différents, donc nous pouvons vraiment en profiter ! Mais surtout, pour les amateurs de bières, c’est l’un des seuls onsen où il est possible de boire une bière à l’intérieur du bain ! Nous y sommes même restées quatre heures la seconde fois, ce qui n’est pas conseillé bien sûr. Evidemment, je n’ai pas de photo des bains…

Pour la fin de notre séjour à Sapporo, Keisuke veut que nous préparions une soirée française à une de leurs succursales, car ils organisent souvent des soirées à thèmes. Pour ce faire nous préparons des croque-monsieur et des fondants au chocolat. Je dois admettre que nos fondants ont eu un succès formidable.

C’est ainsi que nous quittons Hokkaido pour rejoindre d’autres contrées enneigées, la région de Nagano !

7 commentaires

  • Lours

    Merci Emma pour votre gentille carte et aussi de nous faire partager votre voyage. Quelle expérience merveilleuse pour vous.
    A bientôt
    Fabienne Lours de Bourdeillas à La Rochebeaucourt

  • Jauralde

    Un petit mot à notre retour de courtes vacances avec enfants et petits enfants.
    J’éprouve toujours beaucoup de plaisir à suivre vos aventures, bien au chaud à la maison, loin des campagnes ou villes enneigées.
    Je vois que vous ne perdez pas votre appétit, il faut des calories pour affronter toutes les situations.
    J’attends la suite…bon courage pour la rédaction…

    • Emma

      J’espère que vous avez passé de bonnes vacances et que tout le monde va bien. Merci beaucoup pour ce retour en tout cas !
      Il va sans dire que notre appétit n’a pas diminué ici, à Nagano, étant donné que nous faisons notre propre nourriture, avec que des super bons cuistots (excepté Aurélie et moi hahah)… Mais l’article ne devrait pas être très long, et donc ne devrait pas tarder à arriver. Sachant que je pars dans une semaine d’ici.

      Je vous embrasse.

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